CESAR DU MEILLEUR FILM
« Illusions perdues », de Xavier Giannoli
Lucien est un jeune poète inconnu dans la France du XIXème siècle. Il a de grandes espérances et veut se forger un destin. Il quitte l’imprimerie familiale de sa province natale pour tenter sa chance à Paris, au bras de sa protectrice. Bientôt livré à lui-même dans la ville fabuleuse, le jeune homme va découvrir les coulisses d’un monde voué à la loi du profit et des faux-semblants. Une comédie humaine où tout s’achète et se vend, la littérature comme la presse, la politique comme les sentiments, les réputations comme les âmes. Il va aimer, il va souffrir, et survivre à ses illusions.
CESAR DE LA MEILLEURE ACTRICE
Valérie Lemercier dans « Aline »
CESAR DU MEILLEUR ACTEUR
Benoît Magimel dans « De Son Vivant »
Un homme condamné trop jeune par la maladie. La souffrance d’une mère face à l’inacceptable. Le dévouement d’un médecin (le docteur SARA dans son propre rôle) et d’une infirmière pour les accompagner sur l’impossible chemin. Une année, quatre saisons, pour « danser » avec la maladie, l’apprivoiser, et comprendre ce que ça signifie : mourir de son vivant.
CESAR DE LA MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
Aissatou Diallo Sagna dans « La Fracture »
Raf et Julie, un couple au bord de la rupture, se retrouvent dans un service d’Urgences proche de l’asphyxie le soir d’une manifestation parisienne des Gilets Jaunes.
CESAR DU MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
Vincent Lacoste dans « Illusions perdues »
CESAR DU MEILLEUR ESPOIR FEMININ
Anamaria Vartolomei dans « L’Événement »
France, 1963. Anne, étudiante prometteuse, tombe enceinte. Elle décide d’avorter, prête à tout pour disposer de son corps et de son avenir. Elle s’engage seule dans une course contre la montre, bravant la loi. Les examens approchent, son ventre s’arrondit.
CESAR DU MEILLEUR ESPOIR MASCULIN
Benjamin Voisin dans « Illusions perdues »
CESAR DE LA MEILLEUR REALISATION
Leos Carax pour « Annette »
Los Angeles, de nos jours. Henry est un comédien de stand-up à l’humour féroce. Ann, une cantatrice de renommée internationale. Ensemble, sous le feu des projecteurs, ils forment un couple épanoui et glamour. La naissance de leur premier enfant, Annette, une fillette mystérieuse au destin exceptionnel, va bouleverser leur vie.
CESAR DU MEILLEUR COURT METRAGE D’ANIMATION
« Folie douce, Folie dure », de Marine Laclotte
Une balade dans le quotidien de plusieurs institutions psychiatriques, à la rencontre de personnes hors normes qui nous laissent entrer dans leur intimité…
CESAR DU MEILLEUR COURT METRAGE DOCUMENTAIRE
« Maalbeek » d’Ismaël Joffroy Chandoutis
Sabine est à la recherche d’une image manquante : un jour qui a laissé une marque indélébile et dont tout le monde se souvient, sauf elle. Mais n’est-ce pas cette absence qui lui permet d’aller de l’avant ?
CESAR DU MEILLEUR COURT - METRAGE DE FICTIO N
« Les Mauvais Garçons », d’Élie Girard
Frites, bières et récits de "dates" Tinder... Délaissés par leur meilleur ami en passe d’être papa, deux trentenaires tentent de réinventer leur amitié.
CESAR DU MEILLEUR FILM D’ANIMATION
« Le Sommet des dieux », de Patrick Imbert
A Katmandou, le reporter japonais Fukamachi croit reconnaître Habu Jôji, cet alpiniste que l’on pensait disparu depuis des années. Il semble tenir entre ses mains un appareil photo qui pourrait changer l’histoire de l’alpinisme. Et si George Mallory et Andrew Irvine étaient les premiers hommes à avoir atteint le sommet de l’Everest, le 8 juin 1924 ? Seul le petit Kodak Vest Pocket avec lequel ils devaient se photographier sur le toit du monde pourrait livrer la vérité. 70 ans plus tard, pour tenter de résoudre ce mystère, Fukamachi se lance sur les traces de Habu. Il découvre un monde de passionnés assoiffés de conquêtes impossibles et décide de l’accompagner jusqu’au voyage ultime vers le sommet des dieux.
CESAR DU MEILLEUR DOCUMENTAIRE
« La Panthère des neiges » de Marie Amiguet et Vincent Munier
Au coeur des hauts plateaux tibétains, le photographe Vincent Munier entraîne l’écrivain Sylvain Tesson dans sa quête de la panthère des neiges. Il l’initie à l’art délicat de l’affût, à la lecture des traces et à la patience nécessaire pour entrevoir les bêtes. En parcourant les sommets habités par des présences invisibles, les deux hommes tissent un dialogue sur notre place parmi les êtres vivants et célèbrent la beauté du monde.
CESAR DU MEILLEUR PREMIER FILM
« Les Magnétiques », de Vincent Maël Cardona
Une petite ville de province au début des années 80. Philippe vit dans l’ombre de son frère, Jérôme, le soleil noir de la bande. Entre la radio pirate, le garage du père et la menace du service militaire, les deux frères ignorent qu’ils vivent là les derniers feux d’un monde sur le point de disparaître.
CESAR DU MEILLEUR FILM ETRANGER r
« The Father », de Florian Zeller
THE FATHER raconte la trajectoire intérieure d’un homme de 81 ans, Anthony, dont la réalité se brise peu à peu sous nos yeux. Mais c’est aussi l’histoire d’Anne, sa fille, qui tente de l’accompagner dans un labyrinthe de questions sans réponses.
CESAR DU MEILLEUR SCENARIO ORIGINAL
Arthur Harari et Vincent Poymiro pour « Onoda, 10 000 nuits dans la jungle »
Fin 1944. Le Japon est en train de perdre la guerre. Sur ordre du mystérieux Major Taniguchi, le jeune Hiroo Onoda est envoyé sur une île des Philippines juste avant le débarquement américain. La poignée de soldats qu’il entraîne dans la jungle découvre bientôt la doctrine inconnue qui va les lier à cet homme : la Guerre Secrète. Pour l’Empire, la guerre est sur le point de finir. Pour Onoda, elle s’achèvera 10 000 nuits plus tard.
CESAR DE LA MEILLEURE ADAPTATION
Xavier Giannoli et Jacques Fieschi pour « Illusions perdues »
CESAR DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
Ron Mael et Russell Mael pour « Annette »
CESAR DU MEILLEUR SON
Erwan Kerzanet, Katia Boutin, Maxence Dussère, Paul Heymans et Thomas Gauder pour « Annette »
CESAR DE LA MEILLEUR PHOTOGRAPHIE
Christophe Beaucarne pour « Illusions perdues »
CESAR DU MEILLEUR MONTAGE
Nelly Quettier pour « Annette »
CESAR DES MEILLEURS COSTUMES
Pierre-Jean Larroque pour « Illusions perdues »
CESAR DES MEILLEURS DECORS
Riton Dupire-Clément pour « Illusions perdues »
CESAR DES MEILLEURS EFFETS VISUELS
« Annette »