Il y cinquante ans

  • Mis à jour : 23 février

IL Y A 50 ANS

- 21 février 1973 : Sortie du film « Le silencieux » de Claude Pinoteau

Synopsis =
À l’occasion de la venue à Londres d’une délégation scientifique soviétique, les services secrets britanniques enlèvent un de ses membres et le font passer pour mort. Il s’agit en fait d’un savant français, Clément Tibère, enlevé par le KGB seize ans plus tôt. Refusant de collaborer dans un premier temps par peur des pressions et des menaces de mort, Tibère finit cependant par accepter de dénoncer les scientifiques anglais corrompus participant à la délégation. Les Britanniques le relâchent alors sous une nouvelle identité. Mais, immédiatement, le KGB le pourchasse. Il essaye alors de regagner la France et de trouver un moyen d’échapper à la chasse à l’homme.

Distribution =
Lino Ventura  : Clément Tibère
Léa Massari : Maria Menela
Suzanne Flon : Jeanne, une amie de Clément qui l’héberge à Paris
Leo Genn : le gentleman du MI5
Bernard Dhéran : monsieur Chat, un agent de la DST
Robert Party : le tueur du train
Pierre-Michel Le Conte : Boris Korodine, un chef d’orchestre et espion soviétique
Lucienne Legrand : la libraire
Alan Adair
Jerry Brouer
Gabriel Cinque
Pierre Collet : le garagiste
Roger Crouzet : un agent de la DST
André Falcon : le commissaire de police
Pierre Forget : le fumeur dans le train
Michel Duplaix : un analyste de la DST
Michel Fortin : le camionneur
Max Fournel
Linda Gray1 : Ms Hardy, la scientifique britannique corrompue.
Robert Hardy : l’adjoint du gentleman du MI5
George Pravda
Richard Saint-Bris
Pierre Zimmer : le nouveau mari de Maria

- 22 février 1973 : Sortie du film « Don juan 73 » de Roger Vadim

Synopsis
Jeanne (Brigitte Bardot) est une jeune femme séductrice et sensuelle. Amoureuse de son cousin, prêtre (Mathieu Carrière), qu’elle entraine dans une débauche incestueuse, elle court de proie en proie : Pierre (Maurice Ronet), professeur qu’elle entraine en Suède, paradis de l’amour libre en ces années 70, pour le perdre ; Prevost (Robert Hossein) et sa femme, la fragile Clara (Jane Birkin), qu’elle charmera dans une cabine du Night Ferry entre Paris et Londres ; un guitariste (Robert Walker Jr.) qui se suicidera pour elle... Pierre a failli périr dans les flammes, mais en voulant le sauver, c’est elle qui y restera. Ces dernières l’auront attendue, comme ce fut le cas pour son modèle, le don Juan masculin

Distribution
Brigitte Bardot : Jeanne
Jane Birkin : Clara
Maurice Ronet  : Pierre Gonzague
Léna Skerla : Mme Gonzague, sa femme
Mathieu Carrière  : l’abbé Paul
Robert Hossein : Louis Prévost
Michèle Sand : Léporella
Robert Walker Jr. : Bobby - le guitariste
Henri Attal : un pilier de bar
Dominique Zardi : un pilier de bar
Jenny Arasse : une étudiante
Jean Rupert : l’un des deux Anglais au bar de l’hôtel
James Campbell-Badiane : James
Ann Zacharias : l’étudiante blessée à l’université d’Uppsala
Samson Fainsilber

- 22 février 1973 : Sortie du film « L’an 01 » de Jacques Doillon

Synopsis
Le film narre un abandon utopique, consensuel et festif de l’économie de marché et du productivisme. La population décide d’un certain nombre de résolutions dont la première est « On arrête tout » et la deuxième « Après un temps d’arrêt total, ne seront ranimés — avec réticence — que les services et les productions dont le manque se révélera intolérable. Probablement : l’eau pour boire, l’électricité pour lire le soir, la TSF pour dire “Ce n’est pas la fin du monde, c’est l’an 01, et maintenant une page de Mécanique céleste” ». L’entrée en vigueur de ces résolutions correspond au premier jour d’une ère nouvelle, l’An 01.

Distribution
Daniel Auteuil  : l’ex-banquier qui ne sait rien faire d’autre
Josiane Balasko
François Béranger : le chanteur guitariste des « clés »
Alain Bert
Isabelle de Botton
Madeleine Bouchez
Romain Bouteille : le collectionneur de vieux billets de banque
Cabu : un membre des conspirateurs
Jacques Canselier
Antoine Carillon
François Cavanna : un membre des conspirateurs
Professeur Choron  : un membre des conspirateurs
Christian Clavier
Coluche  : le chef de bureau
Véronique Colucci : la dactylo assise
Maurice Coussonneau
Christine Dejoux
Albert Delpy
Gérard Depardieu  : le voyageur qui ne veut plus prendre le train
Delfeil de Ton : un membre des conspirateurs
Jean-Paul Farré : le pompiste
Lee Falk : le banquier
Marcel Gassouk
Gébé
Gotlib  : le gardien de prison
Henri Guybet : le gars au réveille-matin
Jacques Higelin : le joueur de banjo
Gérard Jugnot  : un goûteur, qui suggère qu’il est possible de manger du papier
Daniel Laloux
Patrice Leconte
Stan Lee : le narrateur (scènes à New York)
Thierry Lhermitte  : le goûteur d’alcool
René Marjac
Miou-Miou  : la fille au réveille-matin
Patrice Minet
David Pascal : le vendeur de journaux
Marie Pillet : la cliente de l’épicerie
Daniel Prévost
Maud Rayer
Jacques Robiolles : l’homme nu
Alain Scoff
Philippe Starck : un publicitaire
Jean-Paul Tribout : l’amoureux scientifique
Frédéric Tuten
Georges Wolinski : un membre des conspirateurs
Guillaume Weill-Raynal : un manifestant, en patins à roulettes
Charlotte Dubreuil

- 22 février 1973 : Sortie du film « Moi y’en a vouloir des sous » de Jean Yanne

Synopsis
Les conflits sociaux battent leur plein. Adrien Colbart (Bernard Blier), président de la puissante CGI, est considéré comme un leader syndical de tendance radicale. Son neveu, Benoît Lepape (Jean Yanne) est un homme tranquille, qui travaille comme analyste financier dans un groupe industriel. Contrairement à ce que pense son oncle, il n’est pas hostile aux ouvriers. En revanche, il voit les manifestations et les banderoles comme des « singeries ».

Après une initiative malheureuse, Lepape est licencié par son PDG en chaise roulante, Chouras. Il va voir son oncle et lui expose sa stratégie : « contre le capitalisme, utiliser le capitalisme ». Il le convainc d’investir les fonds du syndicat dans une entreprise de bicyclettes qui va connaître le succès. Avec les mêmes fonds et les bénéfices des bicyclettes, Lepape ouvre bientôt une usine-modèle d’électronique.

Moi y’en a vouloir des sous

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Moi y’en a vouloir des sous
Données clés
Réalisation Jean Yanne
Scénario Gérard Sire, Jean Yanne
Acteurs principaux
Jean Yanne
Bernard Blier
Nicole Calfan
Michel Serrault

Pays de production Drapeau de la France France
Genre comédie
Durée 110 min
Sortie 1973
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution

Moi y’en a vouloir des sous est une comédie satirique réalisée par Jean Yanne, sortie en 1973.

Synopsis
Les conflits sociaux battent leur plein. Adrien Colbart (Bernard Blier), président de la puissante CGI, est considéré comme un leader syndical de tendance radicale. Son neveu, Benoît Lepape (Jean Yanne) est un homme tranquille, qui travaille comme analyste financier dans un groupe industriel. Contrairement à ce que pense son oncle, il n’est pas hostile aux ouvriers. En revanche, il voit les manifestations et les banderoles comme des « singeries ».

Après une initiative malheureuse, Lepape est licencié par son PDG en chaise roulante, Chouras. Il va voir son oncle et lui expose sa stratégie : « contre le capitalisme, utiliser le capitalisme ». Il le convainc d’investir les fonds du syndicat dans une entreprise de bicyclettes qui va connaître le succès. Avec les mêmes fonds et les bénéfices des bicyclettes, Lepape ouvre bientôt une usine-modèle d’électronique.

Distribution
Jean Yanne : Benoît Lepape
Bernard Blier : Adrien Colbart, le leader syndical
Nicole Calfan : Nicole, la militante féministe
Michel Serrault : Léon, le curé
Fernand Ledoux  : Sauveur Chouras, le PDG appareillé
Jean-Roger Caussimon  : l’évêque
Daniel Prévost : Rozalès
Jacqueline Danno : Jacqueline
Ginette Garcin  : Ginette
Jean-Marie Proslier  : Brothier
Maurice Vamby : Collon
André Gaillard : Cherbiller
Teddy Vrignault : Lardel
Paul Préboist : Vergeot, l’agent de police
Jean Obé : Schumacker
Anjali Kadam : la nurse
Lawrence Riesner : le commissaire principal
Jacques François : Delfaut, le fondé de pouvoir
Max Desrau : Gaston, le receveur du bus
Axel Ganz : le délégué allemand
Paul Mercey : le délégué suisse
Michel Magne : le vicaire
Monick Lepeu : la militante du MLF
Yvan Varco : Kervoline
Marco Perrin  : le chef des CRS
Gérard Sire  : un quêteur
Henri Attal  : un CRS
Magma : dans son propre rôle (le groupe « pop » dans la scène de l’église)
Régis Ander : un syndicaliste
Roger Lumont : un syndicaliste

Autour du film

  • Une boîte de jeu, inspirée du film, créée par Jean Yanne et Tito Topin, a été éditée par Cinéquanone, éditions Images et Formes.
  • Une composition de Teddy Lasry avec Magma, intitulée "Dotz Hundïn", de trois minutes environ et restée inédite sur disque, peut être appréciée au bout d’une heure quinze du film1.