Sorties cinéma du 27 janvier 2014

  • Mis à jour : 12 avril 2015

Critiques tirées de Télérama et autres magazines dont Allociné et Première

Sorties du 27 janvier 2014

TELERAMA AIME PASSIONNEMENT

Cotation 5/5

-  « Minuscule, la vallée des fourmis perdues » - Film d’animation Enfants - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Hélène Giraud et Thomas Szabo - Durée : 1h29min - Pays de production : France - Année de production : 2009 - Distributeur : Le Pacte

Critique  : A nous Paris (Fabien Menguy) _ Bref, le quotidien des insectes reconstitué en 3D dans des décors naturels par les créateurs de la série Minuscule. Ce passage réussi sur grand écran multiplie les saynètes muettes humoristiques et les personnages insolites, pas très grands mais vaillants.

Note de la presse : 4.2 /5

Note du public :3.6 /5

Synopsis  : Dans une paisible vallée, des fourmis noires vivent une série d’aventures extraordinaires après la découverte d’une boîte de sucres, un trésor convoité également par les terribles fourmis rouges ! Mais c’est grâce à l’amitié d’une jeune coccinelle qu’une fourmi noire va tenter par tous les moyens de sauver les siens.

TELERAMA AIME BEAUCOUP

Cotation 4/5

-  « Ceuta, douce prison » - Documentaire - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Jonathan Miller et Loïc H. Rechi - Durée : 1h30min - Pays de production : France - Année de production : 2012 - Distributeur : Docks 66

Critique  : A voir à lire (Jean-Claude Arrougé) _ Un beau documentaire, sensible et édifiant.

Note de la presse : 3.7/5

Note du public : 3.2/5

Synopsis  : « Ceuta, Douce Prison » suit les trajectoires de cinq migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés dans une prison à ciel ouvert, aux portes du vieux continent. Ils vivent partagés entre l’espoir d’obtenir un « laissez-passer » et la crainte d’être expulsés vers leur pays. Le film est tourné en proximité totale avec les personnages, sans voix-off, sans adresse caméra, en immersion dans leur quotidien.

-  « Jacky au royaume des filles » - Comédie - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Riad Sattouf - Avec : Vincent Lacoste, Charlotte Gainsbourg, Didier Bourdon - Durée : 1h30min - Pays de production : France - Année de production : 2012 - Distributeur : Pathé !

Critique  : Premiere (Christophe Narbonne) _ Dans « Les Beaux Gosses », Riad Sattouf rendait hommage aux garçons turbulents de la BD francophone, de Totoche au Grand Duduche. Avec Jacky au royaume des filles, il reprend l’esprit anar et con d’Hara-Kiri. Dans cette comédie d’anticipation où les garçons en burqa (!) n’ont plus aucun droit, Jacky va tout faire pour séduire la Colonelle, héritière du trône matriarcal de Bubunne... Comme Bertrand Blier dans sa période Calmos, le réalisateur pousse loin la satire sans peur du ridicule et de l’étiquette de phallocrate que l’on va lui coller. Mieux vaut en rire qu’en pleurer.

Note de la presse : 2.9/5

Note du public : 2.9 /5

Synopsis  : En république démocratique et populaire de Bubunne, les femmes ont le pouvoir, commandent et font la guerre, et les hommes portent le voile et s’occupent de leur foyer. Parmi eux, Jacky, un garçon de vingt ans, a le même fantasme inaccessible que tous les célibataires de son pays : épouser la Colonelle, fille de la dictatrice, et avoir plein de petites filles avec elle. Mais quand la Générale décide enfin d’organiser un grand bal pour trouver un mari à sa fille, les choses empirent pour Jacky : maltraité par sa belle-famille, il voit son rêve peu à peu lui échapper...

Jacky au royaume des filles s’inspire d’une histoire courte publiée en 2005 dans la série de bande dessinée Pascal Brutal, et de Cendrillon.

-  « Tonnerre » - Comédie dramatique - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Guillaume Brac - Avec : Vincent Macaigne, Solène Rigot, Bernard Menez - Durée : 1h40min - Pays de production : France - Année de production : 2013 - Distributeur : Wild Bunch

Critique  : Premiere (Antoine Prioul) _ Remarqué il y a deux ans avec le moyen métrage « Un monde sans femmes », Guillaume Brac confirme tout le bien que l’on pensait de lui. La force de son « Tonnerre » tient à sa manière, insidieuse et perverse, de passer subrepticement d’une chronique bonhomme quelque peu « houellebecquienne » à un thriller dépressif, sombre et craspec. Le réalisateur n’a pas son pareil pour lézarder le cours du récit à grands traits bizarroïdes, mélanges de noirceur totale et de fantaisie romantique, ici Bernard Menez en séducteur castrateur, là une balade en ski de fond dont le merveilleux et le romantisme inquiet confinent au conte de fées. La réussite du film doit forcément beaucoup au charisme cabossé de Vincent Macaigne, grand clown ramolli chez qui sommeille une fureur adolescente proche de la folie.*

Note de la presse : 3.2/5

Note du public : 3.3/5

Synopsis : Un rockeur trop sentimental, une jeune femme indécise, un vieux père fantasque. Dans la petite ville de Tonnerre, les joies de l’amour ne durent qu’un temps. Une disparition aussi soudaine qu’inexpliquée et voici que la passion cède place à l’obsession.

-  " Beaucoup de bruit pour rien " - Comédie - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Joss Whedon - Avec : Amy Acker, Alexis Denisof, Clark Gregg - Durée : 1h48min- Pays de production : Etats-Unis - Année de production : 2012 - Titre original : Much Ado About Nothing - Distributeur : Jour2Fête

Critique  : Premiere (Christophe Narbonne) _ Entre deux « Avengers », Joss Whedon s’est piqué d’adapter la célèbre pièce de Shakespeare en conservant le texte mais en projetant les personnages dans un environnement contemporain. Il a ainsi tourné dans son propre salon et fait appel à ses potes à tous les acteurs, méconnus en France pour la plupart, ont joué dans les films et les séries qu’il a supervisés. Le résultat est un mélange irritant de pose arty (pourquoi tourner en noir et blanc un film par ailleurs transposé à notre époque ?), de direction artistique inexistante et de cabotinage excessif (les roulés-boulés des acteurs font passer les grimaces de Kenneth Branagh pour des outrances acceptables). Reçu avec ferveur au festival de Toronto, ce film d’art et essai n’a qu’un mérite : donner du temps de jeu à la ravissante et très douée Amy Acker, parfaite de mauvaise foi en Beatrice. Bref, beaucoup de bruit pour rien.

Note de la presse : 3.2/5

Note du public : 3.4/5

Synopsis  : De retour de la guerre, Don Pedro et ses fidèles compagnons d’armes, Bénédict et Claudio, rendent visite au seigneur Léonato, gouverneur de Messine. Dans sa demeure, les hommes vont se livrer à une autre guerre : celle de l’amour. Et notamment celle qui fait rage entre Béatrice et Bénédict, que leur entourage tente de réconcilier tout en essayant de déjouer les agissements malfaisants de Don Juan.

Adaptation de la pièce de Shakespeare

TELERAMA AIME UN PEU

Cotation 3/5

-  « Dallas buyers club » - Drame - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Jean-Marc Vallée - Avec : Matthew McConaughey, Jennifer Garner, Jared Leto - Durée : 1h57min - Pays de production : Etats-Unis - Année de production : 2013 - Titre original : The Dallas Buyers Club - Distributeur : UGC Distribution

Critique  : StudioCiné Live (Sandra Benedetti) _ Loin des clichés hollywoodiens, Vallée assène ses scènes d’émotion comme des gifles. Ce dont on le remercie, avant de lui en vouloir.

Note de la presse : 4.2 /5

Note du public : 4.0/5

Synopsis  : 1986, Dallas, Texas, une histoire vraie. Ron Woodroof a 35 ans, des bottes, un Stetson, c’est un cow-boy, un vrai. Sa vie : sexe, drogue et rodéo. Tout bascule quand, diagnostiqué séropositif, il lui reste 30 jours à vivre. Révolté par l’impuissance du corps médical, il recourt à des traitements alternatifs non officiels. Au fil du temps, il rassemble d’autres malades en quête de guérison : le Dallas Buyers Club est né. Mais son succès gêne, Ron doit s’engager dans une bataille contre les laboratoires et les autorités fédérales. C’est son combat pour une nouvelle cause...et pour sa propre vie.

Le film est nommé aux Oscars dans les catégories Meilleur Film, Meilleur scénario original, Meilleur Acteur (Matthew McConaughey), Meilleur Acteur dans un second rôle (Jared Leto), Meilleur montage, Meilleur maquillage.

-  « Démocratie zéro 6 » _ Documentaire - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Michel TOESCA - Durée : 1h15min - Pays de production : France - Année de production : 2013 - Distributeur : Séance Tenante

Critique  : Les Fiches du Cinéma - Par Gaël Reyre - Formellement austère mais édifiant, "Démocratie zéro 6 "nous interroge sur l’exercice de la démocratie.

Note de la presse : 3.0/5

Note du public : /5

Synopsis  : Trois villages d’une vallée isolée du Sud-Est de la France, frontalière de l’Italie, décident en commun de consulter leur population sous forme de référendum consultatif concernant leur rattachement administratif à la CARF, Communauté d’Agglomération de la Riviéra Française, dont l’avenir est d’intégrer la métropole de Nice, la toute première créée en France.
Le préfet Drevet, soutenu par le président de la métropole Christian Estrosi et le président du conseil général Eric Ciotti, déclare illégal et interdit ce référendum en menaçant élus et associations de 6 mois de prison et de 7500 € d’amende s’ils participent à sa mise en place, alors que partout ailleurs en France ce genre de référendums a lieu sans obstruction.
C’est en partant de l’examen de cette situation locale et l’analyse des moyens utilisés par les pouvoirs en place pour créer une métropole, que ce film pose la question de l’exercice de la démocratie représentative sur l’ensemble du territoire.

-  « Le village de carton » - Drame - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Ermanno Olmi - Avec : Michael Lonsdale, Rutger Hauer, Alessandro Haber - Durée : 1h27min- Pays de production : Italie - Année de production : 2011 - Titre original : Il villagio di cartone - Distributeur : Bodega Films

Critique  : Premiere (Vanina Arrighi de Casanova) _ Cri désespéré et crise mystique, le nouveau film du réalisateur de « L’Arbre aux sabots » (Palme d’or à Cannes en 1978) s’ouvre sur l’accablement d’un vieux prêtre qui voit son église déconsacrée, perdant ses ouailles et sa raison d’être. Mais à peine l’endroit est-il vidé qu’un groupe de migrants clandestins y trouve refuge et rend fugacement au lieu de culte son rôle social, avant d’en faire le théâtre d’échanges pessimistes sur l’état du monde. Ce huis clos oppressant à la symbolique pesante (les christs que l’on déboulonne...) s’étouffe de désespoir et peine à dégager du sens.

Note de la presse : 3.0/5

Note du public : 3.1/5

Synopsis  : Un prêtre âgé est catastrophé par la déconsécration de son église et le fait qu’il se retrouve privé de tout rôle social. Mais un groupe d’émigrants clandestins ne tarde pas à trouver refuge dans cette « église » et à donner au vieux prêtre un nouveau rôle et de nouvelles responsabilités.

-  « Des étoiles » - Drame - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Dyana Gaye- Avec : Ralph Amoussou, Mareme Demba Ly, Souleymane Seye NDIAYE - Durée : 1h28min - Pays de production : France Sénégal - Année de production : 2013 - Distributeur : Haut et Court

Critique  : StudioCiné Live (Sandra Benedetti) - Tendre et cruel, donc terriblement réel.

Note de la presse : 3.5/5

Note du public : 3.3/5

Synopsis  : Entre Turin, Dakar et New York, les destins de Sophie, Abdoulaye et Thierno se croisent, se font écho et dessinent une constellation de l’exil. Sophie, 24 ans, quitte Dakar pour rejoindre son mari Abdoulaye à Turin. Mais entre-temps, Abdoulaye est déjà parti à New-York par l’intermédiaire d’un réseau de passeurs. Thierno, 19 ans, voyage lui pour la première fois en Afrique. A travers trois personnages, « Des Etoiles » nous fait voyager dans la diversité des villes parcourues et nous confronte aux réalités et aux espoirs de l’émigration contemporaine.

-  « Nymphomaniac Vol 2 » - Drame - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Lars Von Trier - Avec : Charlotte Gainsbourg, Stellan Skarsgard, Stacy Martin - Durée : 2h4min - Pays de production : Belgique Danemark France Allemagne - Année de production : 2013 - Distributeur : Les Films du Losange

Critique  : TF1 News Par Romain Le Vern _ Plus radical, plus extrême, "Nymphomaniac - Volume 2" fait passer tout ce qui a précédé pour une attraction Disney.

Note de la presse : 3.5/5

Note du public : 3.1/5

Synopsis  : Deuxième volet de la folle et poétique histoire du parcours d’une femme, de sa naissance jusqu’à lâge de 50 ans, racontée par le personnage principal Joe, qui s’est auto-diagnostiquée nymphomane.
NYMPHOMANIAC est la folle et poétique histoire du parcours érotique d’une femme, de sa naissance jusqu’à l’âge de 50 ans, racontée par le personnage principal, Joe, qui s’est autodiagnostiquée nymphomane. Par une froide soirée d’hiver, le vieux et charmant célibataire Seligman découvre Joe dans une ruelle, rouée de coups. Après l’avoir ramenée chez lui, il soigne ses blessures et l’interroge sur sa vie. Seligman écoute intensément Joe lui raconter en huit chapitres successifs le récit de sa vie aux multiples ramifications et facettes, riche en associations et en incidents de parcours.

Suite du film Nymphomaniac - Volume 1

-  « Hemel » - Drame - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Sacha Polak - Avec : Hannah Hoekstra, Hans Dagelet, Rifka LODEIZEN - Durée : 1h20min - Pays de production : Pays-Bas - Année de production : 2012 - Distributeur : Asc distribution

Critique  : A voir à lire (Virgile Dumez) _ Ce premier film nous convie à une étonnante valse des corps qui débouche sur une étude de caractère assez douloureuse. Malgré une réalisation diversement inspirée, l’ensemble séduit par ses quelques audaces d’écriture.

Note de la presse : 3.0/5

Note du public : 3.0/5

Synopsis  : Hemel enchaîne les rencontres sans lendemain, encore plus rapidement que son père ne change de copine. Depuis la mort de sa mère, Hemel et son père ont bâti une relation fusionnelle, parfois même trop intime, qui ne tolère aucun engagement dans leurs vies amoureuses respectives. Lorsque son père décide de quitter son amie Emma lors d’une soirée, le triomphe d’Hemel se lit sur son visage. Jusqu’au jour où il tombe vraiment amoureux de Sophie, une nouvelle rivale pour Hemel..

-  « Stalingrad Lovers » - Drame - Interdit au -12 ans - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Fleur Albert - Avec : Jean-Patrick Koné, Carole Eugénie, Jean-Paul Edwiges - Durée : 1h22min - Pays de production : France - Année de production : 2012 - Distributeur : Niz !

Critique  : Les Cahiers du cinéma (Sophia Collet) - La réalisatrice se heurte à l’écueil propre à un cinéma français qui se voudrait épris d’altérité mais retombe toujours sur ses pattes, celui du romantisme forcené des Klotz ou de Vincent Dieutre.

Note de la presse : 3.0/5

Note du public : 3.1/5

Synopsis  : Un homme est mort. Mehdi fût le parrain de la communauté des usagers du crack entre La Chapelle et Stalingrad. Alors qu’Isaïe aspire à quitter la rue pour retrouver son fils, il est rattrapé par la promesse faite un jour à Mehdi : en cas de malheur, faire revenir son corps au pays.

-  " The Ryan Initiative " - Thriller Espionnage Action - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Kenneth Branagh - Avec : Chris Pine, Kevin Costner, Keira Knightley - Durée : 1h46min - Pays de production : Etats-Unis - Année de production : 2013 - Titre original : Jack Ryan : Shadow Recruit - Distributeur : Paramount Pictures France

Critique  : Le Journal du Dimanche par Stéphanie Belpêche _ Ce film d’action, riche en complots et en courses-poursuites reste cependant très efficace, et on se délecte de l’interprétation de Kenneth Branagh, qui cabotine en homme d’affaires mégalo.

Note de la presse : 2.5/5

Note du public : 3.0/5

Synopsis  : Ancien Marine, Jack Ryan est un brillant analyste financier. Thomas Harper le recrute au sein de la CIA pour enquêter sur une organisation financière terroriste. Cachant la nature de cette première mission à sa fiancée, Jack Ryan part à Moscou pour rencontrer l’homme d’affaires qu’il soupçonne d’être à la tête du complot. Sur place, trahi et livré à lui-même, Ryan réalise qu’il ne peut plus faire confiance à personne. Pas même à ses proches.

D’après les personnages de Tom Clancy.

TELERAMA N’ AIME PAS MAIS CE N’EST PAS UNE RAISON POUR NE PAS ALLER LE VOIR

Cotation 2/5

-  « I, Frankestein » _ Film fantastique Action - Tous publics avec avertissement - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Réalisé par : Stuart Beattie - Avec : Aaron Eckhart, Yvonne Strahovski, Bill Nighy - Durée : 1h32min - Pays de production : Etats-Unis - Année de production : 2013 - Distributeur : Metropolitan

Critique  : Les Fiches du Cinéma , Par Marine Quinchon _ Au fil d’un scénario brouillon et sans originalité, cette adaptation a l’idée saugrenue de confronter sa créature à une série de personnages fantastiques, tous plus caricaturaux les uns que les autres.

Note de la presse : 2.0/5

Note du public : 3.4/5

Synopsis  : Adam, la créature de Frankenstein, a survécu jusqu’à aujourd’hui, grâce à une anomalie génétique survenue lors de sa création. Son chemin l’a mené jusqu’à une métropole gothique et crépusculaire, où il se retrouve pris par une guerre séculaire sans merci entre deux clans d’immortels. Adam va être obligé de prendre parti et de s’engager dans un combat aux proportions épiques.

D’après la BD de Kevin Grevioux.

TELERAMA N’ A PAS DONNE D’AVIS, A VOUS DE JUGER

-  « Paranoia » - Réalisé en 2013 par Robert Luketic - Avec Liam Hemsworth , Gary Oldman , Harrison Ford ... - Date de sortie : 29 janvier 2014 - Durée : 106mn - Pays : USA - France

Synopsis  : Employé par Wyatt Telecom, une puissante entreprise de télécommunications, l’ambitieux et avide de pouvoir et richesse Adam Cassidy commet une erreur qui fait perdre beaucoup d’argent à sa compagnie. En échange de son indulgence, son patron Nicholas Wyatt lui demande d’infiltrer la principale entreprise concurrente de Wyatt Telecom dirigée par Jock Goddard, grand rival mais aussi ancien mentor de Wyatt. Au cours de sa mission, le jeune homme, piégé au milieu de cette guerre industrielle que se livrent les deux PDG, réalise que sa vie est en danger. En effet, il en sait déjà trop sur les dessous des deux entreprises...