[CINEMA NAMIBIE
[Films namibiens
[« The White Line » Film réalisé par Désirée Kahikopo en 2019, avec : Girley Jazama, Jan-Barend Scheepers, Sunet Van Wyk. Dans un Sud-Ouest sud-africain soumis, dans les années 1960, par l’Afrique du Sud à un renforcement des mesures d’apartheid, les amours interdites et condamnées de Sylvia, une jeune femme de ménage noire, et de Pieter, un officier de police afrikaner.
[Films ayant été tournés en Namibie
[« African Safari 3D » « African Safari 3D » est un film (...)
[LES STRUCTURES CINEMA
Les Salles de Cinéma Cruzer Cinema à Freetown
Festival International de Cinéma Les Festival de cinéma se tient à Freetown au mois d’Avril . Le festival croit d’années en années . Il se déroule pendant 15 jours complets. La programmation comprend 2/3 de films sierra-léonais locaux et de la diaspora (pour soutenir et renforcer les capacités de l’industrie locale) et 1/3 de films internationaux. Les catégories sont documentaires, courts et longs. Sont également accueillies (...)
[HISTOIRE DU CINEMA SUD-AFRICAIN
[Le début du cinéma sud-africain Le cinématographe s’est implanté très tôt en Afrique du Sud, dès 1896, soit un an seulement après la première projection publique organisée par les frères Lumière à Paris. Durant la Guerre des Boers (1899-1902), de petits films de propagande britannique anti-boer sont tournés.
[Années 1916 - 1922
Après la création de l’Union sud-africaine, le pays connaît un âge d’or du cinéma entre 1916 et 1922. Des épopées à la gloire de l’Afrique du Sud (...)
CINEMA ALGERIEN
C’est au coeur de la « guerre de libération » que le cinéma algérien a fait ses débuts. Malgré de faibles échos dans les programmations occidentales, il recèle des oeuvres de qualité. Le septième art algérien s’est développé avec les festivals et les autres activités culturelles. L’Algérie, dans les années soixante, a également participé à des coproductions de grande valeur. Néanmoins comme tous les cinémas dans le monde il doit faire face aux invasions des séries télévisées et au piratage (...)
Le cinéma angolais apparaît après la Seconde Guerre mondiale.
[HISTOIRE
[Angola colonie portugaise Jusqu’à la fin des années 1940, l’ Agence Générale des Colonies (pt) et les "missions cinématographiques en Angola" produisent une série de films documentaires, dont [« Exposition provinciale d’agriculture, élevage et d’industrie » (1923), [« Chipinica », [« Soba do Dilolo », [« Préparation du café », [« Richesses d’Amboim », [« Angola économique » (1929).
Le premier film connu et inventorié, [« O Caminho de (...)
[LE CINEMA BENINOIS
[Historique du cinéma béninois
L’industrie cinématographique du Bénin a vu le jour vers les années 1920 avec l’exploitation de quelques salles à Ouidah, Cotonou, Porto-Novo et Anécho. Il a connu ses moments glorieux vers les années 1970 suite à la nationalisation des salles en février 1974 par le régime révolutionnaire.
Des précurseurs ont joué des partitions remarquables dans l’histoire du cinéma béninois. Au nombre de ceux-ci, figurent Pascal Abikanlou qui a réalisé le long-métrage (...)
CINEMA CAMEROUNAIS
[HISTOIRE DU CINEMA CAMEROUNAIS
« Le Haut-Commissariat de la République française au Cameroun » est le premier film tourné au Cameroun au lendemain de la Première Guerre mondiale (1919). Tout un symbole. Comme dans toute l’Afrique francophone, il faudra attendre l’indépendance pour que les premiers films camerounais voient le jour. Les deux premiers sont réalisés à Paris où de jeunes étudiants se forment aux techniques cinématographiques depuis le milieu des années 1950. Jean Pierre (...)
Article écrit par Alain Serbin sur son blog > http://alainserbin.over-blog.fr/
[Faire du cinéma en Afrique, c’est déjà audacieux.
Certains diront même, un exploit. Tant les conditions ne le permettent pas. Il faut tout faire, tout inventer, y laisser ses quelques plumes. C’est aussi vrai de dire que le cinéma africain n’a pas encore atteint la maturité. L’état embryonnaire de ce cinéma ne lui permet pas, pour le moment, de concurrencer des grands cinémas déjà existants comme les grands studios (...)
La cinématographie guinéenne est l’une des plus anciennes sur le continent africain, puisqu’elle a vu jours avec Mamadou Touré dans [« Mouramani » sortie en 1953 sous l’administration coloniale. Elle prend un véritable envol après l’accession a l’indépendance avec la création de Syli-Cinéma en 1967. Les pionniers du cinéma d’alors Moussa Kémoko Diakité dans [« Naitou », Barry Sekou Oumar dans [« Et vint la liberté ». A l’avènement de la deuxième république le cinéma change, ont passe des langues nationales (...)
"La Centrafrique est un pays qui a beaucoup de problèmes économiques. Le cinéma est quand même un luxe. En France, c’est un luxe accepté comme une nécessité. Chez nous c’est un luxe qui l’est d’autant plus que de nombreux problèmes - santé, école - ne sont pas encore résolus. Ça paraît encore plus fort." Bassek Ba Kobhio
[HISTORIQUE
[DE NOS JOURS
En Centrafrique, le cinéma reprend des couleurs Une dizaine de réalisateurs formés, une salle inaugurée le 2 février 2019. Le nouveau cinéma centrafricain veut (...)
[FILM TOURNE EN GAMBIE [« The Exchange : Six Faces of The Gambia » The Exchange : Six Faces of The Gambia est un court métrage documentaire canado-gambien réalisé par Matthew Welsh et sorti en 2009. C’est une série de portraits de Gambiens. C’est l’un des très rares films en partie produits en Gambie. Synopsis = Matthew Welsh voyage en Gambie dans les années 2000 et présente six portraits de Gambiens de la classe moyenne, avec le projet de dépasser les stéréotypes habituels sur ce pays.
[FILM (...)
[HISTOIRE DU CINEMA DE LA GUINEE BISSAU
Les racines de ce cinéma remontent à la guerre de décolonisation contre le Portugal, lorsque le leader indépendantiste Amílcar Cabral envoie quatre jeunes Guinéens à Cuba pour y apprendre le cinéma. Cabral conçoit le cinéma comme un outil politique, capable de créer une identité nationale nouvelle et d’écrire l’histoire d’une Guinée libérée. Prospère pendant quelques années après l’indépendance (1974), le cinéma guinéen disparaît complètement avec le déclenchement de la (...)
CINEMA DE LA REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO Références : Article de Jean-Baptiste Dossou-Yovo
Contrairement à la littérature de la RDC qui rassemble une pléiade d’auteurs parmi lesquels un certain nombre se distinguent à la fois comme universitaires, critiques littéraires et écrivains, le cinéma de l’ex-Zaïre est resté modeste mais vivant. On devrait cependant reconnaître qu’au cours de la dernière décennie, il a réalisé plus de progrès qu’en trente ans. C’est dire qu’il s’agit d’un cinéma en pleine (...)
Les premières formes de projection publique de films dans le pays furent les actualités italiennes sur les événements clés de la période coloniale. En 1937, le film [« Sentinelles de bronze » (récompensé à la Mostra de Venise) a été tourné dans l’Ogaden en Somalie, avec presque tous des acteurs somaliens. Issu de la riche tradition narrative du peuple somalien, les premiers longs métrages et festivals cinématographiques somaliens ont vu le jour au début des années 1960, immédiatement après l’indépendance. (...)
Le cinéma tanzanien n’en est qu’à ses débuts, les réalisateurs souffrant d’un manque de financement. Ce pays a servi de décor à des fictions et a été l’objet de documentaires dès les années 30.
L’industrie cinématographique de la Tanzanie , également connu sous le Swahiliwood (un portemanteau de swahili , langue officielle de la Tanzanie, et Hollywood ), a été créé autour de 2001.
Les films produits avec de faibles budgets, des calendriers courts et caméscopes sont appelés familièrement comme « bongo films » (...)
Parmi les pays africains, le Burkina Faso est en pointe pour le cinéma. Dès l’indépendance de la Haute-Volta en 1960, les dirigeants politiques ont tenu à de développer un cinéma national dégagé de la domination coloniale.
[Festival
En 1969 le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou FESPACO est créé à l’initiative de cinéphiles. En 1972, il bénéficie du support de l’Etat et de structures permanentes. Devenu biennal, il est l’une des grandes manifestations culturelles de (...)
Le cinéma au Ghana a commencé lorsque les premiers films ont été introduits dans la colonie britannique de Gold Coast (aujourd’hui Ghana ) en 1923. À l’époque, seuls les riches pouvaient voir les films, en particulier le maître colonial. Dans les années 1950, la réalisation de films au Ghana a commencé à augmenter. Les cinémas étaient le lieu principal pour regarder des films jusqu’à ce que la vidéo domestique devienne plus populaire.
[CINEMA DANS LA PERIODE COLONIALE
Au début des années 1920, des (...)
[ACTEURS ET ACTRICES DU KENYA [Janet Mbugua Filmographie :« Rush » – Pendo Adama
[Samantha Mugotsia Filmographie : « Rafiki » _ Prix d’interprétation féminine au FESPACO 2019.
[Lupita Nyong’o Filmographie : 2013 : 12 Years a Slave de Steve McQueen : Patsey 2014 : Non-Stop de Jaume Collet-Serra : Gwen Lloyd 2015 : Star Wars, épisode VII : Le Réveil de la Force (The Force Awakens) de J. J. Abrams : Maz Kanata 2016 : Le Livre de la jungle (The Jungle Book) de Jon Favreau : Raksha (voix) 2016 : (...)
[FILMS TOURNES AU LESOTHO [ « Goldwidows : Women in Lesotho » Cocumentaire sud-africain réalisé par Don Edkins en 1990. Il est consacré aux conditions de vie des femmes des mineurs basotho travaillant au Lesotho. Synopsis = Les Basotho sont un peuple vivant au Lesotho et en Afrique du Sud. Dans les années 1990, beaucoup d’hommes basotho partent travailler dans les mines sud-africaines tandis que l’apartheid interdit à leurs familles d’entrer en Afrique du Sud. En l’absence de leurs maris, les (...)
[HISTOIRE DU CINEMA MALAWITE
David Kerr’s Dance, Media, Entertainment and Performance in South East Africa (Kerr, 1998) donne le récit le plus élaboré du développement du cinéma au Malawi. Les Britanniques ont introduit le film dans l’ Afrique Central , dont le Malawi (Nyasaland), la Rhodésie du Sud et du Nord dans le années 1930. Souhaitant rendre la domination coloniale acceptable pour les indigènes, ils ont utilisé les médias de masse, y compris le cinéma.
Suite à l’introduction du « Bioscope » (...)
[LE PHENOMENE NOLLYWOOD
Nollywood est un mot-valise associant le « N » de Nigéria et le « ollywood » de Hollywood évoquant ainsi l’importance du cinéma du Nigeria. Deuxième puissance cinématographique au monde quant au nombre de films depuis 2009 derrière l’Inde (Bollywood) et devant les États-Unis (Hollywood), le Nigéria produit chaque année 2 000 films vidéos, dont le coût estimé ne dépasse pas 20 millions d’euros. Son public régulier est estimé à 150 millions de spectateurs.
Nollywood est née dans les (...)
[LE CINEMA DU SWAZILAND (ESWATINI)
[LES FILMS [« LIYANA » Co-réalisé par Aaron et Amanda Kopp en 2017, ce film hybride s’appuie sur une histoire imaginée par cinq orphelins swazis en complicité avec la célèbre conteuse sud-africaine Gcina Mhlophe. Multi-primé déjà, notamment lors du British Film Institute’s London Film Festival, ou à la MOMA’s Doc Fortnight, " Liyana " mêle documentaire en prises de vues réelles et partie animée. Ce récit, qui met en scène une intrépide héroïne partant à la rescousse de (...)
[CINEMA DU TOGO
1. [HISTORIQUE
1.1. Début du cinéma
À la naissance du cinématographe, le Togo venait juste d’être occupé par les Allemands et, en 1895, l’actuelle capitale, Lomé, n’était alors qu’un bourg de pêcheurs qui comptait environ 3000 habitants dont 67 blancs. Si l’absence de culture de l’écrit en cette région, et la faible présence occidentale durant deux décennies encore, compliquent la tâche du chercheur, il semble avéré que les premiers films tournés sur ce territoire le seront par un Allemand, (...)
Le Zimbabwe a une culture cinématographique active qui comprend des films réalisés au Zimbabwe pendant les périodes pré- et post-coloniales. La crise économique et la crise politique ont été des caractéristiques de l’industrie. Une publication des années 1980 dénombrait 14 cinémas dans la capitale du Zimbabwe, Harare . Selon un rapport de 1998, seulement 15 pour cent de la population était allé au cinéma. Des films européens et américains ont été tournés sur place au Zimbabwe ainsi que des films indiens. (...)
[LE CINEMA EGYPTIEN
[La naissance
En 1896 (un an après la première projection cinématographique des Frères Lumière à la Ciotat), les premières projections de cinéma se déroulent dans le Hammam Schneider et dans des cafés en Egypte. C’est en 1906 qu’apparaît la première salle de cinéma et 5 ans plus tard ce sont 6 salles de cinémas qui ouvrent au Caire. En 1917, ce nombre s’élève à 80. Les premières premiers cinémas appartenaient presque exclusivement à des descendants européens et étaient dans des mains (...)
[CIMEMA ETHIOPIEN
[HISTOIRE DU CINEMA ETHIOPIEN
En Éthiopie, premier pays d’Afrique à avoir ouvert une salle de projection, la culture du septième art reste vivace. C’était en 1896. L’empereur Ménélik II venait d’importer le premier projecteur pour regarder un film sur les miracles de Jésus… Un an plus tard, la première salle de cinéma voyait le jour. L’édifice en pierre, toujours debout et en cours de rénovation par des entrepreneurs privés, a gardé son surnom de l’époque, « la maison du diable ». Il (...)
LE CINEMA DU GABON
Extraits de textes écrits par Imunga Ivanga dans retrostecive du Cinéma Gabonais.
[Début du cinéma gabonais
Dans les années soixante, les films étaient projetés à partir d’un camion-cinéma qui sillonnait les quartiers populaires de Libreville. En fait un cinéma mobile destiné au plus grand public. Un projecteur installé à l’arrière du véhicule, un drap blanc ondulant sous l’effet du vent, et la séance pouvait commencer. La magie du cinéma s’imposait ainsi brutalement dans la chaleur des (...)
La Côte-d’Ivoire, comme la presque totalité des pays d’Afrique, doit faire face à un manque de moyens et de structures adaptées pour avoir une production cinématographique de qualité : parc de salles insuffisant ; distribution des films échappant à toute sélection ; pas de politique d’aide à la production. Débutant dans les années soixante grâce à la Télévision, l’apparition du numérique à partir de 2004 lui donne une seconde jeunesse. Néanmoins les séries trop nombreuses et de piètre qualité nuit à (...)
La Libye est d’abord représentée au cinéma dans de courts films documentaires au moment de son occupation par les troupes italiennes. Dans les années 1950, le royaume de Libye produit quelques courts documentaires à propos de la cité antique de Lebtis Magna. Mais le premier film libyen au sens fort du terme, réalisé et joué par des Libyens, est [« Indama Yaqsu al-Zaman (Le destin est très dur) », Abdella Zarok, qui sort en 1972 et est tourné en noir et blanc.
Outre les films dirigés par des Lybiens (...)
[LE CINÉMA MALGACHE
[Les débuts du cinéma malgache
A Madagascar, l’histoire du cinéma débute dès la fin de la première guerre mondiale. Le cinéma muet était diffusé dans les salles Excelsior, Gallieni, et Universel de la capitale de la grande île. Comme partout ailleurs dans le monde, le cinéma muet et notamment Charlot faisait fureur.
Le film parlant atteindra Madagascar dès 1935. En 1936, se crée à Madagascar « le Consortium Cinématographique » société de diffusion du cinéma qui, non seulement (...)
[
Le cinéma malien
Le cinéma malien a marqué le 7e art africain par sa thématique variée et ses productions de qualité.
[Un cinéma de qualité
Primé à plusieurs reprises : Festival FESPACO au Burkina, le Mali est le seul pays à avoir 3 Etalons de Yennega : - Baara et Finyè de Souleymane Cissé (1979 et 1983) - Guimba de Cheick Oumar Sissoko (1995). - Ta Dona (Au feu !) de Adama Drabo (1991) - Taafé Fanga de Adama Drabo (1997) - La génèse de Cheick Oumar Sissoko (1999) - (...)
[LE CINEMA MAROCAIN
[1. Histoire
Le premier tournage au Maroc date de 1897, avec [« Le Chevrier marocain » de Louis Lumière (no 1394 au catalogue Lumière), qui inaugure une tradition de tournages étrangers au Maroc, tradition qui perdure jusqu’à nos jours. Juste après la grande première parisienne des frères Lumière, des opérateurs envoyés par les jeunes industriels lyonnais sont allés sillonner le monde en quête d’images « exotiques » et « merveilleuses ». Le Maroc avait justement l’avantage d’être (...)
[LE CINEMA MAURITANIEN
Le cinéma mauritanien apparaît dans les années 1970, époque où sont installées les premières salles de cinéma de la jeune République islamique de Mauritanie. Les films mauritaniens sont pour la plupart produits en exil.
[DE RARES SALLES DE CINEMA
Un Français du nom de Gaumeze est le premier à construire des salles dans les années 1960. Vers le début des années 1960, Hemmam Fall, un troubadour et poète, homme d’affaires avisé par ailleurs commence lui aussi à acquérir des salles (...)
[HISTOIRE DU CINEMA AU MOZAMBIQUE
[le Cinéma post indépendance
La première action culturelle du gouvernement mozambicain juste après l’indépendance, en 1975, fut la création de l’Institut national du cinéma (INC). Le nouveau président, Samora Machel, avait pleinement pris conscience du pouvoir de l’image et de la façon dont on pouvait l’utiliser pour bâtir une nouvelle nation socialiste. Les unités mobiles de cinéma montreraient au pays tout entier la production la plus populaire de l’INC, le journal (...)
[CINEMA NIGERIEN
[LES ORIGINES Le Niger par le cinéma, ce fut d’abord l’ethnographe français Jean Rouch, arrivé en 1941 comme ingénieur des Ponts et Chaussées. En 1947 déjà il réalise [« Au Pays des mages noirs », en 1948 [« l’Initiation à la danse des possédés », et [« Les Magiciens de Wanzarbé » suit en 1949.
Jean Rouch fait plus tard la connaissance d’un jeune nigérien démobilisé d’Indochine et en quête de travail, Oumarou Ganda. Acteur vedette de Jean Rouch dans [« Moi un noir » (1957), puis assistant (...)
Le cinéma ougandais en est à ses balbutiements, pourtant les nouvelles techniques de prise de vue numérique pourraient lancer un cinéma de qualité et original. Le manque de structures institutionnelles, le manque de salles et les problèmes de financements n’empêchent pas moins une petite production de films (documentaires , Courts-métrages et fictions). Les réalisateurs ayant conservé leur nationalité ougandaise sont peu nombreux. La plupart comme les acteurs ont émigré. Néanmoins, l’Ouganda est le (...)
[LE CINEMA SENEGALAIS
Le cinéma sénégalais est l’un des plus anciens et des plus dynamiques du continent africain. Il est actuellement pénalisé par le très faible nombre de salles de projection au Sénégal ; en conséquence, les productions sénégalaises sont souvent mieux connues à l’étranger.
[Les débuts du cinéma au Sénégal
Le début du cinéma sénégalais remonte avant l’indépendance avec [« Afrique-sur-Seine » de Paulin Soumanou Vieyra. Sorti en 1955, ce court - métrage de Vieyra avait désobéi à la loi française (...)
[LE CINEMA SOUDANAIS
[LES ANNEES D’APRES GUERRE
Jadallah Jubara(Ref. Camille Causse – Librétion 2017)
Le réalisateur Jadallah Jubar
« Il y a des archives un peu partout dans le monde qu’il est urgent de restaurer », un constat qui a poussé Reiner Meyer, un passionné de l’image de film, à inventer un scanner capable de lire et de numériser les pellicules en très mauvais état. « Et c’est ce qui me motive à participer à ce projet » conclut-il. Mais de quel projet parle-t-il ? Découvrons ensemble (...)
Mahamat-Saleh Haroun, cinéaste est devenu ministre de la Culture du Tchad. C’est dire l’importance du cinéma dans la culture contemporaine tchadienne souvent entravée dans sa progression ou dans sa survivance mémorielle par les guerres incessantes depuis plus de 60 ans. Pour la première fois des films apparaissent dans les Festivals internationaux, un Premier Festival de cinéma est organisé. Même si la route est longue et semée d’embûches, petit à petit le cinéma tchadien fait son chemin.
[LISTE (...)
[HISTOIRE DU CINEMA TUNISIEN
Le cinéma existe en Tunisie depuis son apparition à l’échelle mondiale. Dès 1896, les frères Lumière tournent des vues animées dans les rues de Tunis. En 1897 ont lieu les premières projections cinématographiques à Tunis, organisées par Albert Samama-Chikli et le photographe français Soler.
LES DEBUTS En 1919, le premier long métrage réalisé sur le continent africain,[ « Les Cinq Gentlemen maudits » de Luitz-Morat, est tourné en Tunisie.
Dès 1922, le précurseur du cinéma (...)
[CINEMA ZAMBIEN
La révélation de Cannes 2017, le film zambien de Rungano Nyoni [« I Am Not a Witch », nous a donné envie d’investiguer le cinéma zambien. N’ayant que peu d’informations sur ce cinéma, il nous a fallu consulter plusieurs articles avant d’en arriver au chef d’oeuvre de Rungano Nyoni
Le cinéma missionnaire
En 1880, La Société des Missions Evangéliques de Paris installe ses premières missions dans la région du Zambèze. François Coillard premier missionnaire à s’équiper d’un appareil (...)